Pourquoi je travaille avec un Mac

Je me fais souvent poser la question «Pourquoi je travaille avec un Mac comme ordinateur» bien qu’il y ait plusieurs raisons techniques… la véritable raison est très simple… «Parce que ça marche !»

Contrairement à Windows, que je considère comme une nuisance à l’efficacité et à la productivité, mon Mac ne me fait jamais défaut, il a la même vélocité depuis 5 ans malgré les mises à jours effectuées. Il me permet d’effectuer mon travail avec rapidité et efficacité. Ça fait plus de 10 ans que j’utilise des « Mac » et je n’ai jamais eu 5 minutes de problème.

Il m’arrive à l’occasion de devoir travailler sur Microsoft Windows (chez des clients, il n’y a pas de Windows à la maison!) pour différentes raisons et à chaque fois j’arrive au même constat, c’est pathétique comme système d’exploitation. Les problématiques arrivent une après l’autre, la lourdeur est présente, les mises à jours sont désastreuses (4 jours d’installation de mises à jours), code d’erreur, le rendement des applications est perfectible. Je ne parle pas ici de problèmes observés seulement sur de vieux PC désuets mais également sur des ordinateurs neufs fraîchement installés.

Comment ignorer également les risques majeurs d’infections de toutes sortes dont est victime l’OS de Redmond. C’est un aspect non négligeable. Je n’ai pas le luxe de pouvoir être inopérationel pendant des heures voire des jours.

Depuis 1997 (année où j’ai découvert Linux), j’ai essayé plusieurs systèmes d’exploitation : MacOS, FreeBSD, Linux (plusieurs distro) et Windows. De tous ces OS, Windows est celui qui est le plus misérable dans son utilisation quotidienne. Évidemment, pour la majorité des gens, Windows leur convient parfaitement. Mais pour les professionnels de l’informatique, je n’ai jamais considéré Windows comme une solution digne de mention. Je préferais, de loin, utiliser un ordinateur configuré avec Linux ou FreeBSD plutôt que Windows.

J’entends déjà les fanatiques de Windows vouloir contredire mes propos. Libre à vous! Malheureusement, je dois avouer que la plupart des détracteurs que j’ai entendu à travers les années n’ont jamais utilisé sérieusement Mac, Linux ou BSD.